Le groupe politique Bien Vivre à Melun a toujours défendu en conseil municipal l’accès de tous à l’éducation artistique, et en particulier l’instauration d’un tarif proportionnel au quotient familial qui permet aux plus démunis de bénéficier d’une éducation artistique de qualité. Cette approche sociale est, elle, onforme à […]
Hier après-midi, nous étions présentes avec Fatya Ammad devant l’inspection académique à l’appel de pratiquement toutes les organisations syndicales de l’enseignement primaire et secondaire pour soutenir les enseignant·e·s dans leurs revendications. 58 suicides déclarés en 2018-2019 dans l’Éducation nationale ! Une situation doublement inacceptable. D’une part pour les […]
Pour fêter ses 20 ans, l’Université Inter-Âge de Melun avait invité Christophe Barbier, éditorialiste de BFM TV à prononcer sa conférence inaugurale. Nous nous sommes longtemps demandés en vertu de quelles qualités universitaires, ce fabriquant de l’opinion avait été sélectionné ? Il faut croire que d’appointer chez BFM […]
Les élus ont validé l’ouverture dominicale de la médiathèque de Melun. Publié le 27 Déc 18 à 20:02 par Julien Van Caeyseele À partir du 13 janvier, la médiathèque l’Astrolabe sera ouverte de 26 à 30 dimanches par an, de 14 heures à 18 heures. Ces ouvertures, votées […]
Nous avons reçu le compte rendu du dernier conseil municipal qui s’est tenu le 16/11/17, l’occasion pour nous, élu.e.s du groupe Bien Vivre à Melun d’attirer l’attention des habitant.e.s de notre ville sur quelques points particulièrement marquants : Piétonnisation de la Place Saint-Jean, pourquoi tant de béton !? […]
Bruno Maillard, docteur en histoire, est chercheur associé au CRESOI/ Université de la Réunion, chargé d’enseignement à l’université de Paris-Est Créteil et conseiller scientifique au sein de l’association Protea. Extrait de Libres et sans fers, paroles d’esclaves (2015) Gilda Gonfier, Bruno Maillard et Frédéric Régent, Editions Fayard Histoire. […]
Au dernier conseil municipal nous vous demandions pourquoi la municipalité n’avait rien organisé à l’occasion du 10 mai 2014 dans le cadre de la journée nationale de commémoration de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions. « Cette commémoration n’est ni un acte de contrition, ni un geste de repentance et encore moins un acte d’accusation. Elle se veut comme un moment où la République et la Nation regardent leur histoire. »