Taxe foncière : Une tendance à la baisse pour Melun
À Melun, le taux de la taxe foncière communale est passé de 29,01 % à 28,14 %. Un petit progrès alors que la ville fait partie de celles aux taxes les plus importantes.
« Pas une mesure de justice sociale »
Pour Bénédicte Monville (écologiste proche FI) du groupe d’opposition Bien vivre à Melun, la baisse décidée par Louis Vogel « n’est qu’une décision électoraliste pour faire plaisir à son socle d’électeurs. À Melun il y a 70 % de logements sociaux, il favorise une minorité ». Et de poursuivre, « ce n’est pas une mesure de justice sociale car dans le même temps, le coût des services collectifs ont augmenté : le prix de la cantine, des services de garderie, des sports… »
Lire l’article en entier :
https://actu.fr/ile-de-france/melun_77288/taxe-fonciere-une-tendance-la-baisse-melun_29345052.html
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Municipales à Melun : le maire a gagné une bataille contre la saleté… mais pas la guerre
A quelques mois des élections, « Le Parisien » se penche sur cinq villes clés de Seine-et-Marne et analyse les enjeux de la campagne. Cette semaine, l’environnement et la propreté.
Le 11 novembre 2019 à 15h46, modifié le 11 novembre 2019 à 16h17
« Nos déchets sont une source de pollution considérable et en Ile-de-France, nous en produisons en moyenne 464 kilos par habitant et par an», rétorque Bénédicte Monville (Ecologiste-LFI) qui défend la municipalisation de la gestion des déchets. « Ce peut être l’occasion de produire de la richesse économique à travers la revente des matières premières collectées (compost, bioplastiques, etc), de créer de nombreux emplois en organisant une collecte en « porte à porte », des ateliers de réparation des objets jetés, etc ».
Elle cite en exemple la ville italienne de Capannori (43 000 habitants), « qui a créé 40 emplois équivalents temps plein grâce à la mise en œuvre d’une régie zéro déchets. Elle accueille aussi des entreprises innovantes de production de bioplastique à partir de la matière organique récoltée ».
Pour lire l’article en entier :
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Municipales à Melun : les promesses de 2014 ont-elles été tenues ?
A quelques mois des municipales 2020, le Parisien se penche sur cinq villes clés de Seine-et-Marne. Cette semaine, nous passons au crible trois promesses de 2014 des maires sortants. Et faisons réagir des élus et des habitants.
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Melun : inquiétudes après l’annonce de la suspension du Tzen 2
LA RÉPUBLIQUE DE SEINE-ET-MARNE LUNDI 7 JANVIER 2019 actu.fr/la-republique-de-seine-et-marne
Hôpital de Melun. Dépassements d’honoraires, stationnement payant, délais de rendez-vous : le directeur répond aux interrogations
Le groupe d’opposition Bien Vivre à Melun estime que des facteurs empêchent les habitants d’avoir un accès au soin optimal au nouvel hôpital de Melun-Sénart. Le directeur répond.





Melun : les Verts critiquent le projet de nouvelle maison d’arrêt
Seine-et-Marne. Feu vert pour une nouvelle prison à cheval entre Melun et Rubelles
Nicole Belloubet, la garde des Sceaux a confirmé l’implantation d’une nouvelle prison de 700 places. Selon nos informations, le site envisagé est situé entre Melun et Rubelles
Lire l’article en entier là :
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Au nouvel hôpital, la gratuité du parking des urgences à l’étude
Article de La République de Seine et Marne paru dans l’édition du 23 octobre 2018
Après l’élue d’opposition Bénédicte Monville de Cecco (FI) cet été, puis le député Olivier Faure (PS) au mois de septembre, les politiques continuent de se saisir du sujet du parking payant du nouvel hôpital de Melun-Sénart. Dominique Peljak, le directeur du Groupe hospitalier du sud-Ile-de-France fait le point.
Après notre plainte au conseil municipal du mois de juillet, retrouvez notre lettre au maire de Melun et président de la communauté d’agglomération Melun-Val de Seine ici :
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Dans son dossier sur les « Cantines : mal manger n’est pas une fatalité » (édition du 15 octobre 2018), La République de Seine et Marne consacre un article à la ville de Melun. L’article remarque à juste titre que la ville exerce son obligation de contrôle sur son délégataire et revient sur les améliorations que nous continuons à demander quant à la qualité de la nourriture servie. L’article n’aborde pas ici la question de la délégation de service public sinon pour évoquer les contrôles effectués par la ville et la possibilité que nous approuvons pour les parents de visiter les cantines. Mais ce n’est pas ici le sujet de l’article. Nous tenons toutefois à dire que nous continuons de réclamer une régie publique puisque nous considérons totalement illégitime qu’une multinationale de la restauration collective Elior, en l’occurrence, fasse des bénéfices redistribués en dividendes à des actionnaires en exécutant un service public.
Melun «Faire découvrir des produits variés»
Dans un récent rapport, la chambre régionale des comptes pointe les contrôles mis en place par la Ville de Melun pour s’assurer de la qualité des produits servis à la cantine. Fabriqués à Montereau-Fault-Yonne, ils sont transportés la veille pour le lendemain.
par Julien VAN CAEYSEELE
Extrait :
20 % de produits Bio
À Melun, si le pain servi à la cantine est biologique, « 20 % des plats sont biologiques avec l’objectif d’arriver à 40% en 2024.» «Il y a eu des améliorations en matière de qualité et de contrôle », reconnaît Bénédicte Monville de Cecco (FI), élue d’opposition du groupe Bien Vivre à Melun qui avait lancé le débat en 2012, lors du passage à la cuisine centrale à Montereau-Fault-Yonne.
« En matière de produits biologiques nous plaidons pour un passage à 100 % des produits des cantines, comme à Saint-Etienne (Loire) », poursuit-elle. Une transition vers le tout-biologique qui doit se faire dans le temps et permettre, selon elle, de préserver les enfants « des produits transformés grâce à une agriculture responsable, sans produits chimiques et pesticides. Il faut aussi diminuer le nombre de repas carnés. »
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Pour avoir soutenu et accompagné la mobilisation des habitant.es de la place Praslin contre le projet de construction d’un immeuble qui aurait dû l’occuper toute entière nous saluons cette décision qui confère un atout supplémentaire à notre ville.
Melun. Avec Action coeur de ville, la place Praslin revient aux piétons
Dans le cadre du programme Action coeur de ville, financé par l’État, la Ville de Melun va pouvoir concrétiser trois projets pour la mise en valeur de son patrimoine.
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Melun. La chambre régionale des comptes épingle la gestion de la Ville
Dans un rapport, le gendarme des finances publiques pointe des problèmes de gestion de la municipalité. La majorité conteste point par point, l’opposition savoure.
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Melun Val de Seine. L’aire de grand passage sera installée à Boissise-le-Roi, les agriculteurs appellent à la mobilisation
L’installation d’une aire de grand passage pour les gens du voyage à Orgenoy a été entériné par les élus de Melun Val de Seine, avec l’achat d’un terrain près du centre commercial.
» Dans les rangs de l’opposition, Bénédicte Monville de Cecco (FI) s’est indignée du portrait dressé lors de la séance. « Il y a une communauté de voyageurs en France et l’agglomération aurait dû prendre en compte cette situation il y a longtemps. Ils ont le droit de vivre dans de bonnes conditions comme n’importe quel citoyen », a-t-elle souligné.
Et Claude Bourquard (SE), son collègue, d’abonder : « Globalement les choses se passent bien dans les aires d’accueil, il n’y a pas de raison de différencier ces gens. À Sénart, l’accueil se fait de longue date et sans problème sur l’aire de grand passage, il n’y a pas de raison de ne pas les intégrer sur notre territoire. »
Lire l’ensemble de l’article ici :
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Santépôle de Seine-et-Marne. Une élue demande la fin du stationnement payant au nouvel hôpital de Melun-Sénart
Lors du conseil municipal de Melun, l’élue d’opposition Bénédicte Monville de Cecco (FI), s’est indignée du caractère payant du stationnement au nouvel hôpital.
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Melun Val de Seine. Des policiers patrouilleront dans les transports de l’agglomération
01 Août 2018
(…) A Melun, l’élue d’opposition Bénédicte Monville de Cecco (FI) avait dénoncé une « politique sans résultat à Melun qui ne s’attaque pas aux racines du problème. »
Lire l’article ici :
Melun Val de Seine. Des policiers patrouilleront dans les transports de l’agglomération
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Le 26 juin 2018, la marche des cobayes, pour la vérité et la justice environnementale est passée par #Melun et #Maincy à l’initiative de Bien Vivre à Melun et de citoyen.nes maincéens. Elle s’est conclue par une réunion publique sur les dangers de l’incinération des déchets.
Retrouvez l’article du parisien ici : http://www.leparisien.fr/maincy-77950/maincy-melun-la-marche-des-cobayes-dit-non-aux-rejets-toxiques-26-06-2018-7795224.php
et notre article ici : https://bienvivreamelun.org/2018/06/27/la-marche-des-cobayes-pour-la-verite-et-la-justice-environnementale-est-passee-par-melun-et-maincy-a-linitiative-de-bienvivreamelun-et-sest-conclue-par-une-reunion-publique-a-lespace-saint-j/
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Melun : les habitants de Schuman restent mobilisés contre les démolitions
Lors d’une réunion publique jeudi soir, le collectif récemment créé a redit son souhait d’être associés au projet de rénovation urbaine. Le sujet a été discuté dans la foulée au conseil municipal.
Lire la suite :
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Melun. Dans le quartier Schuman, les habitants disent non aux démolitions
Les habitants du quartier Schuman sont en colère. Ils sont déterminés à s’opposer à la démolition d’une barre d’immeubles concernant les numéros 22 et 24.
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Melun : réunion publique sur la rénovation urbaine
|11 avril 2018, 14h44
Elle est organisée à 18 h 30 à l’espace jeunesse Schuman par diverses associations de locataires et les élus de « Bien vivre à Melun ».
Lire la suite :
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Melun. Ecoles polluées : pas de danger immédiat
Les sols de certaines écoles de Melun sont-ils pollués ? La question se pose après la publication d’un rapport de l’association Robin des bois : 3 écoles de Melun y apparaissent.
En 2012, une campagne nationale a été déployée sous la responsabilité du ministère de l’Ecologie pourmieux connaître l’empreinte des activités industrielles sur les établissements accueillant des enfants et des adolescents. Les crèches, écoles maternelles, élémentaires, collèges, et lycées, bâtis sur des sols pollués, ont été diagnostiqués.
Les conclusions de ces diagnostics sont restées confidentielles pendant plusieurs années avant que l’association Robin des bois ne sollicite les préfectures et services de l’État pour avoir accès à ces documents. À l’issue de cette collecte, l’association a publié une liste de 1 247 établissements scolaires qui présentent des traces de pollution, plus ou moins sérieuses. Trois établissements scolaires de Melun font partie de cette liste.
lire la suite :
https://actu.fr/ile-de-france/melun_77288/melun-ecoles-polluees-pas-danger-immediat_15990941.html
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Les « Synthé » interrogent aussi à Melun
À lire dans la République de Seine et Marne du 26 février 2018
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Melun, passe d’armes entre élus sur la qualité de l’eau
À lire dans Le Parisien 77 du 22 février 2018
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Melun : pas de hausses des impôts locaux mais des finances sous surveillance
La majorité municipale a voté jeudi soir un budget 2018 surveillé de près par l’Etat en raison des dépenses de fonctionnement qui ont atteint le seuil des 60 M€.
Lire la suite là : http://www.leparisien.fr/melun-77000/melun-pas-de-hausses-des-impots-locaux-mais-des-finances-sous-surveillance-16-02-2018-7563249.php
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Melun : retour à la semaine de 4 jours à la rentrée 2018
Le conseil municipal de Melun a voté le retour à la semaine de quatre jours pour les enfants des écoles primaires de la ville, respectant ainsi les résultats du questionnaire proposé à l’automne aux parents, enseignants et personnels des écoles. Sur 3 392 questionnaires distribués, et 31,57 % de participation, 72,4 % des votants ont opté pour la semaine de 4 jours. Finis donc les cours le mercredi matin. Dès le 3 septembre 2018, les élèves iront donc en classe de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 16 h 30.
Elue d’opposition, Bénédicte Monville de Cecco (FI) s’est émue de la disparition des Nouvelles activités pédagogiques (NAP) car « cela pénalisera les enfants dont les parents bossent, ils seront livrés à eux-mêmes, devant la télé ou au pied des immeubles, ou devront être inscrits à un service payant. » En outre, selon elle, ce vote n’est pas représentatif vu la faible participation et « la surreprésentation des enseignants dans les votes contre ». Elle et son collègue Claude Bourquard ont voté contre. Les élus PS se sont abstenus.
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Melun. Le réaménagement de la place Saint-Jean dans le viseur de l’élue écologiste
|29 juin 2017, 18h12
La piétonnisation de la place Saint-Jean à Melun avec pose d’enrobé, rehaussement des trottoirs et jardinières fleuries, ne fait pas l’unanimité. Elue d’opposition, Bénédicte Monville de Cecco (EELV) vient de signer un communiqué sans langue de bois.
Lire la suite sur le site du Parisien
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Melun, Les vœux des écolos tombent à l’eau
23/05/2017 à 09:35 par Julien Van Caeyseele
En marge du conseil municipal, le groupe d’opposition Bien vivre à Melun a présenté quatre voeux aux élus melunais. Parmi eux, la question du franchissement de Seine à Melun, notamment évoqué dans le cadre du plan anti-bouchons.
« Nous demandons une étude indépendante sur l’utilité d’un franchissement supplémentaire et connaître la surface naturelle qui sera sacrifiée », a indiqué Bénédicte Monville de Cecco (EELV).
Plus ont créé des voies de circulations, plus on augmente le trafic routier. » Des arguments qui n’ont pas convaincu la majorité : « On se bat depuis 30 pour l’avoir, a répondu Louis Vogel. Il est nécessaire pour désenclaver Melun. » Avec deux votes pour, le voeu a été rejeté.
Un sort similaire a été réservé au voeu proposé sur la protection bois de Bréviande. « Les projets présentés montrent un passage possible dans ce secteur », a indiqué Claude Bourquard (SE).
« Il est ultra-protégé, a répondu Louis Vogel. Dans le projet, on ne touche pas la forêt, il y a un enfouissement des lignes à haute tension. C’est sur une partie de cette emprise que pourrait passer le contournement. »
Lire ici : « Melun, les voeux des écolos tombent à l’eau », La République de Seine et Marne
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L’invité des Echos du Congo Brazzaville, Bénédicte Monville-De Cecco candidate de France Insoumise de Jean Luc Melenchon dans la première circonscription de Seine-et-Marne
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Melun. Un débat et un film sur la fin de l’esclavage
Une soirée dédiée à la fin de l’esclavage est organisée ce vendredi à l’occasion de la commémoration de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions. Une initiative du groupe d’opposition municipale Bien Vivre à Melun avec Radio-Mangembo. Au programme : la diffusion du film « Citoyens bois d’ébène » de Franck Salin (2015), suivie d’une conférence-débat en présence de l’historien Bruno Maillard, membre du Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage. Un débat intitulé « Abolition de l’esclavage et citoyenneté ou comment les esclaves devinrent citoyens (es) ».
Ce vendredi à 20 h 30 à l’Espace Saint-Jean, 26, place Saint-Jean à Melun. Entrée libre.
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Législatives. A Melun, La France insoumise parie sur une écologiste
C’est un binôme au profil atypique et 100 % féminin. L’élue d’opposition écologiste melunaise Bénédicte Monville de Cecco (EELV) sera candidate aux législatives dans la 1re circonscription sous la bannière de La France insoumise (LFI) aux côtés de Fatiya Ammad-Mothay, mère au foyer à Melun. Cette décision, qui a fait hurler les communistes du secteur, également lancés dans la bataille avec Yves Rémy, n’est pas une véritable surprise.
« Le Parti de gauche a toujours soutenu notre démarche ici. Dès ma campagne aux municipales de Melun en 2014, Jean-Luc Mélenchon m’a fait une lettre de soutien. Eric Coquerel (PG) est venu à mes réunions publiques », rappelle Bénédicte Monville de Cecco. « Ce n’est pas une alliance opportuniste », assure-t-elle, arguant du travail de son groupe d’opposition « Bien vivre à Melun ». « Qui a mené la bataille des cantines, de la pollution de l’air ? Qui a fait voter deux vœux, l’un sur les compteurs Linky et l’autre anti-Tafta ? C’est nous », martèle-t-elle. Et de cibler « l’incohérence des élus communistes qui ont intégré la liste de François Kalfon (PS) tout en se réclamant de Mélenchon… »
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Législatives. La France Insoumise en ordre de bataille en Seine-et-Marne
Melun : Bénédicte Monville de Cecco (EELV) parrainera Mélenchon
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Ils disent « non » au projet de mise à grand gabarit de la Seine
Bénédicte Monville-De Cecco, conseillère régionale du groupe EELVA, a choisi la date du 2 février, journée des zones humides pour s’opposer publiquement au projet.
Il n’était qu’une poignée de manifestants présents devant la mairie de Bray-sur-Seine, mais avec l’intention d’informer sur les effets dévastateurs sur l’environnement que vont constituer les travaux relatifs à la mise à grand gabarit de la Seine.
SKAvec pour l’horizon 2020 l’aménagement d’un tronçon de 27 kilomètres à partir de l’écluse de la Grande Bosse, à l’aval immédiat de Bray-sur-Seine pour que les péniches à grand gabarit (2500 tonnes) puissent accéder aux ports de Nogent-sur-Seine. « C’est un aménagement qui va détruire la Bassée, réserve naturelle d’eau d’une incroyable biodiversité. J’avais formulé le vœu lors du conseil municipal de Melun, où je suis élue écologiste, en juin dernier après les inondations, de demander au conseil départemental de Seine-et-Marne de reconsidérer son soutien au projet, mais nous n’avons pas été entendus » constate Bénédicte Monville-De Cecco
Soutiens
Daniel Hofnung, co-président de la coordination Eau-Ile-de-France et Joël Savry, de l’association Pie Verte Bio 77, étaient également présents et tirent la sonnette d’alarme : « Les zones humides de la Bassée abritent des espèces d’oiseaux protégées, c’est aussi le lieu de reproduction du brochet. Les végétaux présents exercent un effet de filtration de la pollution très important ».
Lire la suite :
Une pétition a été mise en ligne sur change.org : Sauvons la #Bassée
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Les écologistes veulent des mesures fortes contre la pollution en centre-ville
Lors du prochain conseil municipal de Melun qui se tiendra jeudi 2 février, les élus du groupe Bien vivre à Melun veulent proposer une série de mesures pour diminuer la pollution en centre-ville : une zone de circulation, une vignette voire un péage urbain.
31/01/2017 à 08:45 par Julien Van Caeyseele
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La pollution en ville inquiète
Fort des résultats de mesures effectuées fin 2016, des élus écologistes tirent la sonnette d’alarme.
Paris n’a pas l’apanage de la pollution de l’air. Les élus écologistes de Melun ont décidé de pousser un coup de gueule. Ils ont épluché les mesures enregistrées du 29 novembre au 20 décembre par les deux stations d’ Airparifinstallées avenue Thiers et avenue du Général-de-Gaulle, lors du pic de pollution survenu à Paris.
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Après les vœux de Louis Vogel, le coup de gueule de l’opposition
Les questions de sécurité, élevées au rang de priorité par le maire de Melun, ont provoqué la colère de deux conseillères municipale de l’opposition. Point de vue.
17/01/2017 à 16:45 par Julien Van Caeyseele
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Les enfants ont nettoyé le quartier Schuman
Trois associations du quartier Schumann ont proposé aux enfants de participer à une opération éco-citoyenne : « Nettoie ton quartier. »
29/11/2016 à 10:51 par Administrateur
Une cinquantaine d’enfants a participé, samedi 19 novembre, à l’opération Nettoie ton quartier, proposée par l’association des Mamans citoyennes, l’amicale de la tour 13 (OPH) et l’amicale des locataires de Schuman (TMH).
Un rendez-vous tant pédagogique que citoyen : les enfants ont d’abord réalisé des dessins sur les bons gestes en matière d’environnement et ont participé à un quiz, avant la mise en pratique. Ils se sont ensuite attelés à la collecte des déchets sur les voiries, parkings et terrains du quartier.
Fatima El Atmioui, Amara Abbas et Geneviève Doucet, les trois responsables associatives ont d’ailleurs salué la mobilisation, tant des enfants que des bailleurs. Plusieurs élus sont aussi venus à la rencontre des habitants, à l’image de Noël Boursin, Bénédicte Monville de Cecco ou encore Claude Bourquard.
http://www.larepublique77.fr/2016/11/20/melun-les-enfants-ont-nettoye-le-quartier-schuman/
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Inondations : « La nature nous rappelle à l’ordre : il faut arrêter de bétonner ! »
Après l’épongeage, le temps est au questionnement sur les responsabilités d’un tel fiasco. Alors, à qui la faute ? Éléments de réponses avec Bénédicte Monville de Cecco.
06/06/2016 à 12:36 par vanessa relouzat
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MelunPourquoi Melun n’accueille pas de réfugiés ?
Alors que des réquisitions de locaux sont réalisées en Seine-et-Marne, une élue écologiste s’interroge sur l’absence d’accueil dans la ville préfecture. La question devrait être posée lors d’un prochain conseil municipal par le groupe Bien vivre à Melun.
26/10/2016 à 13:41 par Julien Van Caeyseele
http://www.larepublique77.fr/2016/10/26/pourquoi-melun-n-accueille-pas-de-refugies-migrants/
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Agglo Melun Val de Seine – Le groupe Gauche citoyenne et républicaine veut impliquer davantage les habitants
13/09/2016 à 18:38 par Julien Van Caeyseele
« À celles et ceux qui veulent que ça change dans la communauté d’agglomération Melun Val de Seine. » Le titre de la réunion publique organisée, mercredi 7 septembre, à l’Espace Saint-Jean de Melun ne laissait pas de place à la confusion. Une vingtaine de personnes a répondu présent à l’appel du groupe d’opposition Gauche citoyenne et républicaine (GCR).
Lire la suite :
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L’aide aux lycéens franciliens du privé enflamme les esprits
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Election du maire : deux candidatures dans l’opposition (11/04/2016)
Bénédicte Monville de Cecco (EELV) et François Kalfon (PS) ont eux aussi présenté leurs candidatures au poste de maire de maire de Melun.
11/04/2016 à 16:35 par Julien Van Caeyseele
Après les élections municipales, Bénédicte Monville de Cecco, du groupe d’opposition Bien Vivre à Melun, avait déjà présenté sa candidature. Elle l’a de nouveau fait, jeudi dernier, lors de la séance du conseil municipal, estimant que « le projet porté par [sa] liste est le seul capable de répondre aux enjeux pour Melun et aux attentes des Melunais. » L’élue régionale a rappelé les vœux et amendements proposés par l’opposition depuis le début du mandat, sans réussir « à infléchir les politiques néoconservatrices » de la majorité. Selon elle, l’urgence est de redonner du dynamisme à la ville. Bénédicte Monville de Cecco a proposé le développement d’une agriculture urbaine et de proximité, insistant sur la nécessité de créer une ville innovante avec davantage de mobilité douce. « Si nous étions en responsabilité, nous ne braderions pas la place Praslin à des promoteurs immobiliers », a-t-elle souligné. « Melun serait une ville bien différente de ce qu’elle est actuellement. »
http://www.larepublique77.fr/2016/04/11/melun-electio-deux-candidats-dans-l-opposition/
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Les Verts demandent une étude d’impact sur la vidéo-protection (10/04/2016)
10/04/2016 à 18:17 par thomas.martin
Lors du conseil municipal de Melun, le groupe d’opposition Bien Vivre à Melun (EELV) a déposé un amendement pour la mise en place d’une étude pour étudier le ratio « investissement-bénéfice à la population ».
Ils en sont convaincus, la vidéo-protection n’est pas la panacée. Le groupe écologiste d’opposition Bien Vivre à Melun a demandé la mise en place d’une étude pour évaluer le rapport entre le déploiement de caméras et l’apport réel apporté aux habitants. Ils demandent qu’une somme de 80.000 € soit allouée à la réalisation de cette étude.
« La Ville doit se doter de moyens pour évaluer la politique qu’elle met en place », insiste Bénédicte Monville de Cecco. « Ce type d’installation coûte extrêmement cher pour le déploiement et le fonctionnement alors que les bénéfices rendus à la population sont faibles. » Pour appuyer son argumentaire, la conseillère régionale cite l’exemple de Birmingham, au Royaume-Uni « qui a décidé de faire machine arrière, avec un dispositif qui ne correspondait plus aux attentes. »
Milieu ouvert
Selon le groupe écologiste, les sommes injectées dans le dispositif devraient plutôt servir à la prévention contre la délinquance et à une hausse des effectifs de la police de proximité. « Les études sérieuses montrent un manque d’efficacité des caméras en milieu ouvert », précise son collègue Claude Bourquard. Et Bénédicte Monville de Cecco de compléter : « Ce n’est pas des caméras qui vont empêcher une personne de passer à l’acte. Il faut davantage de moyens humains. » Les neuf membres de l’opposition (EELV et PS) ont voté pour cet amendement mais ce dernier n’a pas été suivi par la majorité qui a réfuté ces arguments.
« Les caméras sont une aide précieuse pour les forces de l’ordre dans la résolution des enquêtes », a précisé Gérard Millet, le maire de Melun. La ville doit continuer le déploiement, tout comme l’agglomération Melun Val de Seine, « qui va s’impliquer de plus en plus sur les questions de sécurité. »
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« L’ardente obligation » de lutter contre les ghettos
Il n’aura fallu que trois mois à Valérie Pécresse (LR) pour faire voter l’une de ses mesures phares annoncées lors de sa campagne électorale : la région a voté hier l’arrêt du financement des logements très sociaux (PLAI) dans les communes qui comptent déjà plus de 30 % de HLM. C’est le fameux « dispositif anti-ghettos ». « Je suis allée dans ces quartiers, j’y ai vu une fracture avec les centres-villes. Ces fractures territoriales et sociales, il faut les briser, il s’agit d’une ardente obligation », insiste la nouvelle présidente du conseil régional.
« Sur 1 300 communes en Ile-de-France, 90 concentrent les deux tiers du parc locatif social, renchérit Geoffroy Didier, vice-président (LR) en charge du logement. Le Premier ministre lui-même a parlé d’ apartheid territorial. Notre logique, ce n’est pas de construire moins de logements sociaux — il faudra augmenter l’offre dans les communes qui en sont peu pourvues — mais d’éviter de rajouter de la pauvreté à la pauvreté. » Gilbert Cuzou (PS) saisit la balle au bond : « Et la question des ghettos de riches, elle est où dans votre politique ? Nous aurions aimé que les maires qui ne respectent pas les objectifs en pourcentage de HLM aient des obligations de construction… »
Toujours au nom de l’opposition, Bénédicte Monville (EELV) n’hésite pas à parler de « mépris » : « A quand une politique de déconcentration des classes à Neuilly et dans le XVIe ? 25 % des Franciliens remplissent les conditions pour vivre dans un logement très social. Plutôt que de casser les ghettos, il faut soutenir les habitants qui y vivent… »
De quoi fâcher tout rouge Geoffroy Didier : « N’essayez pas de nous caricaturer. C’est Hollande qui plombe les plus fragiles et les plus pauvres ! »
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L'(in)égalité femme-homme en débat au conseil municipal (02/04/2016)
Marine Gaignard, du groupe d’opposition Un nouveau souffle à Melun, a présenté un vœu sur l’égalité femme-homme, lors du dernier conseil municipal de Melun.
03/04/2016 à 13:09 par Julien Van Caeyseele
Un rapport et un vœu de l’opposition. Lors de la séance du conseil municipal, jeudi 24 mars, la municipalité a présenté un rapport concernant l’égalité femme-homme à la mairie de Melun. Un sujet sur lequel Marine Gaignard, conseillère municipale d’opposition pour Un nouveau souffle à Melun, a demandé la création d’une commission spéciale. « Je propose ce vœu pour que l’on puisse en discuter plus qu’une fois par an », a-t-elle insisté. Gérard Millet, le maire de Melun, a lui défendu l’idée « d’intégrer cette thématique dans une commission déjà existante ».
[Lire aussi]: A Melun Val de Seine, ces si rares éluEs communautaires…
Pour Bénédicte Monville de Cecco, du groupe d’opposition Bien vivre à Melun, « une commission est une excellente idée : les femmes sont surreprésentés dans les catégories les plus basses. Cela pose la question de l’accès au travail », a-t-elle indiqué. Le vœu a été mis au vote et c’est finalement la proposition de la majorité qui a été retenue : la nomination d’un conseiller délégué et une réflexion sur la question de l’égalité dans une commission élargie. Thomas Guyard a proposé que sa collègue de l’opposition Marine Gaignard soit nommée comme conseillère déléguée.
http://www.larepublique77.fr/2016/04/02/politique-melun-egalite-femme-homme-en-debat/
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Ce qu’il ne fallait pas manquer au conseil municipal de Melun (29/03/2016)
Le conseil municipal s’est déroulé jeudi dernier. À noter à l’ordre du jour, le vote du budget. Ce qu’il ne fallait pas manquer.
29/03/2016 à 12:31 par Julien Van Caeyseele
http://www.larepublique77.fr/2016/03/30/melun-conseil-budget-municipal-en-3-points/
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Les Jeunes Agriculteurs reçoivent la patronne des écologistes (11/02/2016)
Le syndicat des jeunes agriculteurs de Seine-et-Marne casse les clichés ! A l’occasion de son assemblée générale aujourd’hui à la Maison de l’agriculture au Mée-sur-Seine, il reçoit la secrétaire départementale d’Europe Ecologie-les Verts (EELV), Bénédicte Monville De Cecco, qui interviendra, parmi d’autres invités, à la table ronde sur le thème : « Quels modèles d’agriculture pour 2025 ? » « Ils m’ont invitée en tant que secrétaire départementale, bien avant que je sois élue régionale.
J’ai été surprise et enthousiaste. Ils brisent l’idée selon laquelle agriculteurs et écologistes ne s’entendent pas. Les agriculteurs sont écologistes dans l’âme ! »
Elle se dit aussi « ravie que les jeunes réfléchissent aux modèles imposés par des choix historiques, dont ils ne sont pas les acteurs, mais les premières victimes, notamment au plan de la santé. Ils doivent être acteurs de la politique agricole ! »
Moins de produits chimiques
Selon elle, il faut « sortir du modèle productiviste, pas viable économiquement, et d’autant moins que la réforme de la Politique agricole commune (PAC) prévoit d’uniformiser les aides jusqu’en Pologne et en Roumanie. Le budget 2014-2020 de la PAC a déjà baissé de 13 % et ils seront plus nombreux à se partager les aides ! »
Bénédicte Monville De Cecco défend un modèle d’agriculture « diversifiée, moins gourmande en intrants chimiques et qui nourrit localement. Les consommateurs sont demandeurs ! »
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Pour Bénédicte Monville de Cecco, la ministre Emmanuelle Cosse doit quitter EELV (26/02/2016)
26/02/2016 à 10:08 par Administrateur
Il semble loin, le temps de la campagne pour les élections régionales. Bénédicte Monville de Cecco, élue d’opposition (EELV) au conseil municipal de Melun a écrit une lettre ouverte mercredi dernier à Emmanuelle Cosse sur le blog des lecteurs de Médiapart. La nomination d’Emmanuelle Cosse au Gouvernement à la suite du remaniement avait fait jaser au sein d’Europe Ecologie Les Verts et son ancienne colistière, tête de liste en Seine-et-Marne que la mise en retrait n’est pas suffisante. « En faisant le choix d’entrer dans ce gouvernement, tu soutiens des valeurs contraires aux nôtres et à ton histoire. », indique-t-elle. En filigrane, Bénédicte Monville de Cecco enjoint Emmanuelle Cosse – avec qui elle est élue à la Région – de démissionner de la formation politique écologiste.
http://www.larepublique77.fr/2016/02/26/pour-benedicte-monville-de-cecco-la-ministre-emmanuelle-cosse-doit-quitter-eelv/
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Bénédicte Monville-De Cecco demande la démission d’Emmanuelle Cosse par lettre ouverte (24/02/2016)
http://www.canalcoquelicot.fr/7actu/vendredi/2016-02-26/
https://blogs.mediapart.fr/les-invites-de-mediapart/blog/240216/lettre-ouverte-emmanuelle-cosse
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Le sort des sans-papiers et demandeurs d’asile inquiète les associations (04/02/2016)
Ils ont distribué gobelets de café et viennoiseries… Ce mercredi matin, dès 7 heures, une cinquantaine de militants associatifs ont proposé un petit-déjeuner solidaire aux sans-papiers et demandeurs d’asile présents dans les files d’attente devant la préfecture de Seine-et-Marne à Melun.
De quoi faire naître un sourire sur ces visages plutôt fermés, l’air préoccupé. Réseau éducation sans frontière (RESF 77), la Ligue départementale des droits de l’homme (LDH77), le Collectif des sans-papiers de Melun, la Cimade, Turbulences, et d’autres se sont réunis aux aurores pour faire passer leur message.
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Parité en politique : ces si rares éluEs communautaires… (21/01/2016)
La question de la parité homme-femme a été omniprésente lors du conseil communautaire pour l’installation des élus de Pringy et Saint-Fargeau-Ponthiery. L’assemblée compte 40 hommes pour 28 femmes et seulement deux vice-présidentes.
19/01/2016 à 12:35 par Julien Van Caeyseele
L’agglomération Melun Val de Seine compte désormais 16 communes. Un conseil communautaire extraordinaire s’est tenu, mercredi dernier à Melun, pour l’installation officielle des élus de Saint-Fargeau-Ponthierry et Pringy. Une séance tendue où la question de la parité homme-femme a été omniprésente tout au long des débats. C’est Jean-Pierre Guérin (PS) de l’opposition du Mée-sur-Seine qui a lancé les hostilités sur le sujet.
28 femmes
« L’assemblée compte 40 hommes pour 28 femmes et ce sont elles qui ont été en majorité débarquées », a-t-il indiqué, évoquant la réduction du nombre d’élus communautaires des petites communes pour permettre l’installation des élus des nouvelles villes. Et d’ajouter : « Je m’étonne de voir que Pringy a nommé deux hommes, je m’interroge sur l’esprit de la loi. » Un écart qui se creuse d’autant plus du côté des vice-présidents avec seulement deux femmes sur 16 : Renée Wojeik et Françoise Lefebvre.
À peine installé, Éric Bonnomet, le maire de Pringy a ainsi dû s’expliquer : « J’ai 90 % d’actif parmi les élus de ma commune et nous n’avions pas de volontaires femmes. La liste a par ailleurs été validée par la préfecture. » Un argument balayé par Bénédicte Monville de Cecco (EELV) : « J’étais déjà intervenue pour noter la sous-représentation des femmes à l’assemblée, a-t-elle rappelé. Évoquant la situation de Pringy, l’élue d’opposition melunaise a estimé que « si les femmes avaient attendu que l’État fasse en sorte qu’elles puissent faire de la politique je ne serai pas ici aujourd’hui. »
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http://www.larepublique77.fr/2016/01/21/melun-parite-politique-ces-si-rares-elues-communautaires/
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La hausse des tarifs de l’Astrolab fait débat (28/12/2015)
A partir du 1er janvier, les tarifs de la médiathèque municipale vont augmenter d’1 %. L’opposition y voit un accès plus délicat à la culture pour les personnes en difficulté mais la majorité estime que la hausse est symbolique.
28/12/2015 à 17:18 par Julien Van Caeyseele
Les hausses successives pour l’accès à la médiathèque de Melun font régir l’opposition quant à l’accès à la culture. Lors du dernier conseil municipal de Melun, mi-décembre, les élus ont débattu sur une délibération concernant l’augmentation des tarifs de 1 % du droit d’inscription pour l’Astrolabe, la médiathèque municipale. « Cette hausse est basée sur l’inflation alors qu’elle devrait l’être sur les salaires des Melunais », a regretté Bénédicte Monville de Cecco (EELV) du groupe Bien Vivre à Melun.
« L’Astrolabe est un bel endroit qu’il faut mettre en valeur et cela passe par des méthodes pour le rendre plus accessible », a insisté l’élue.
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http://www.larepublique77.fr/2016/01/02/la-hausse-des-tarifs-de-l-astrolabe-fait-debat/
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Polémique entre élus sur l’ouverture des commerces douze dimanches en 2016 (21/12/2015)
Lors du conseil municipal, les élus ont voté une dérogation concernant l’ouverture des commerces de Melun douze dimanches en 2016. Une mesure qui n’a pas manqué de faire réagir l’opposition.
21/12/2015 à 17:18 par Julien Van Caeyseele
Dans la pratique, ils sont appelés « les dimanches du maire ». Mercredi dernier, lors du conseil municipal de Melun, les élus ont débattu concernant une dérogation au repos du dimanche concernant les commerces pour l’année prochaine. Une décision consécutive à une modification du Code du travail, permettant au maire de supprimer le repos dominical dans une limite de 12 jours par an, à partir de 2016.
Développement
« La Ville s’engage au niveau du développement économique et souhaite donner aux commerçants la possibilité d’ouvrir au-delà de 5 dimanches par an », a indiqué Anthony Lemond, adjoint au maire en charge du commerce, de l’artisanat et du tourisme. Une décision qui n’a pas manqué de faire réagir les différents groupes d’opposition. Le groupe Bien vivre à Melun a d’ailleurs voté contre ces ajouts d’ouvertures dominicales. « Ce qui me choque, c’est que le maire puisse supprimer le repos du dimanche aux salariés », a tancé Claude Bourquard. Et d’ironiser : « Je suis salarié : qu’il essaye de me le supprimer ! C’est un acquis social qui a été gagné par les ouvriers. »
Même constat pour Bénédicte Monville de Cecco (EELV) : « C’est une régression du droit du travail pour les salariés. Cela pénalise les plus faibles, les salariés qui n’ont pas le choix. Ils sont utilisés comme une variable d’ajustement insupportable pour essayer de compenser un commerce qui va mal. »
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Bénédicte Monville-De Cecco mise sur l’ouverture (07/11/2015)
Leur liste a été déposée lundi à la préfecture de région par Emmanuelle Cosse, leur secrétaire nationale. Bénédicte Monville de Cecco, tête de liste Europe Ecologie-les Verts (EELV) en Seine-et-Marne, a présenté ses colistiers du département, jeudi à Pontault-Combault.
En finir avec le diesel
« C’est une liste ouverte sur la société civile, fruit d’une alliance avec Cap 21 », indique la tête de liste, au côté de laquelle on retrouve en numéro 2, Jean-Marc Pasquet, vice-président sortant de la commission des finances à la région, également élu municipal à Draveil (Essonne). Pro-grande couronne, il a cédé sa place en Essonne, pour une autre de choix en Seine-et-Marne, et porte évidemment le bilan de la majorité sortante.
« Nous sommes la liste de l’innovation », assure ce dernier, tout en insistant sur la « politique de remise à niveau historique des transports » entreprise en Ile-de-France. « C’est la campagne la plus efficace depuis vingt ans dans le département », apprécie Franck Rolland, militant écologiste de longue date.
Sortir du diesel, lutter contre l’exploitation du pétrole de schiste figurent parmi les mesures phares d’EELV. Sur ses tablettes également, la création d’un abonnement Navigo couplé avec un parking garanti et sécurisé pour voitures et vélos. Chose impossible pour le moment. « On fera des démarches afin de renégocier les contrats avec le Syndicat des transports d’Ile-de-France », assure Rose de la Fuente.
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Les élus melunais disent non au traité transatlantique
Le maire de Melun a accepté le vœu formulé par le groupe d’opposition Bien vivre à Melun. La Ville est donc « hors périmètre » du traité transatlantique et serait la première commune de Seine-et-Marne a adopté cette délibération symbolique.
Le troisième vœu aura été le bon. En marge du conseil municipal de Melun, jeudi dernier, Bénédicte Monville de Cecco et Claude Bourquard du groupe d’opposition Bien vivre à Melun, ont présenté un vœu concernant le traité transatlantique – un projet de « partenariat » commercial entre les États-Unis et l’Union européenne.
La raison de leur inquiétude : les répercussions locales que pourraient découler de ce partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP). « Je prends en compte votre vœu car ce traité risque d’apporter des contraintes aux communes, » a indiqué Gérard Millet, le maire. « La ville de Melun pourrait être attaquée par des entreprises américaines qui estimeraient que les règles de concurrence ne sont pas respectées. »
Melun, « hors périmètre TTIP »
Surprise de la réaction du maire, Bénédicte Monville a salué la décision de l’édile. « Vous avez pris la mesure de la question », a résumé l’élue d’opposition. L’inquiétude est grande sur les clauses de ce traité notamment celle qui concerne des tribunaux d’arbitrage privé
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Emmanuelle Cosse en campagne contre les énergies fossiles en Seine et Marne (17/10/2015)
Elle ne connaissait pas ce coin de Seine-et-Marne, où les puits de pétrole fleurissent sous la houlette de l’entreprise canadienne Vermilion. En pleine campagne pour les élections régionales en Ile-de-France, Emmanuelle Cosse, la secrétaire nationale d’Europe Ecologie – Les Verts (EELV), a découvert hier la concession pétrolifère de Champotran, à Jouy-le-Châtel, au côté notamment de Bénédicte Monville de Cecco, sa tête de liste pour la Seine-et-Marne.
C’est là que Vermilion vient de recevoir les autorisations pour de nouveaux forages et nouvelles recherches.
La candidate à la présidence de la région s’est entretenue avec Jane Buisson, la présidente de Nature Environnement 77, et Isabelle Lévy, du collectif anti-pétrole de schiste du Pays fertois, qu’elle soutient dans leur combat. « Ségolène Royal a une vraie responsabilité morale quand elle signe une autorisation pour quinze ans », lui a lancé Isabelle Lévy. « Nous souhaitons sortir des énergies fossiles, assure Emmanuelle Cosse. Pour cela, il y a tout d’abord de grosses réhabilitations à faire en Seine-et-Marne sur l’habitat énergivore. Il faut aussi développer les énergies renouvelables, comme les éoliennes. Mais ici s’est installé un lobby anti-éolien. Le maire de La Croix-en-Brie ( NDLR : où un projet est en cours) nous a dit les difficultés qu’il rencontrait. Quant à Vermilion, nous sommes très méfiants. »
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Melun : les élus écologistes défendent le menu végétarien
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Melun devra payer 12 M€ pour se débarrasser de ses emprunts toxiques (10/07/2015)
Sophie Bordier | 10 Juil. 2015, 19h44 | MAJ : 10 Juil. 2015, 19h44
« Si c’était à refaire, on ne le referait pas ». Même s’il n’était pas à son poste en 2007, Kadir Mebarek (UDI), l’adjoint aux Finances du maire de Melun, a commenté jeudi soir au conseil municipal le lourd héritage qui plombe les finances de la ville : un emprunt toxique de 5,087 M€ souscrit par la ville avec Dexia, dont les taux de remboursement n’ont cessé d’augmenter. Jeudi soir, les élus de la majorité ont voté son remboursement anticipé avec la Sfil, remplaçante de Dexia. Coût de cette sortie : 12,07 M€ de pénalités !
Ce coûteux accord a été scellé par le maire le 19 juin. « Dès 2011, le taux s’est dégradé. On l’a sécurisé à 9 % en 2011 et 2012. En 2013, il était toujours absorbable. Mais là, vu la situation dans la zone euro au 1er juillet 2015 le taux se serait envolé à 25 % et il aurait fallu débourser 1,038 M€ juste pour les intérêts », justifie l’adjoint. En clair, sur 12,07 M€ de pénalités, 9,4 M€ sont financés via un emprunt à taux fixe de 3,54 % (soit 471 000 € à rembourser par an sur vingt ans), et le reste est intégré dans le taux.
Une aide de l’Etat de 7 M€Kadir Mébarek annonce une compensation de 7,3 M€ issus d’un fonds créé par l’Etat pour aider les collectivités locales à se sortir des emprunts toxiques. « En net, la ville remboursera 5 M€ », résume-t-il. Les sept élus d’opposition ont voté contre ces mesures, synonymes de « racket ». Selon eux, la voie du contentieux aurait été plus judicieuse. « Saint-Cast-le-Guildo (Côtés d’Armor) avait emprunté 3,5 M€, a attaqué Dexia et le TGI de Nanterre a condamné Dexia pour défaut d’information : elle va payer 826 000 € à cette commune », lance Thomas Guyard (FG).
François Kalfon (PS) cite aussi Chateauneuf-les-Martigues (Bouches-du-Rhône) qui a attaqué en justice. « 12 M€ de pénalités, ce sont deux à quatre écoles ou trois crèches. Melun est la vile la plus endettée du département ! Nous allons passer sous la tutelle du Préfet », prédit l’élu. Réplique de Mebarek : « Melun n’aurait pas eu l’aide de l’Etat en cas de contentieux. Pour ce village breton, les juges ont considéré qu’il n’était pas assez informé sur ce produit complexe. Or, Melun a une direction des finances étoffée et a recours à un cabinet conseils ».
Pour Bénédicte Monville de Cecco (EELV), « ce produit était incompréhensible. Vous n’êtes pas plus idiot qu’un autre ! Ils ont roulé les communes dans la farine. C’est un scandale ! »
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CANAL COQUELICOT (07/09/2015)
Les titres
Régionales 2015 : EELV prépare sa campagne et présente son équipe locale.
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La patronne des Verts en campagne à Chevry-Cossigny (07/09/2016)
07 Juil. 2015, 19h24 | MAJ : 07 Juil. 2015, 19h24
Elle a choisi une ferme pour sa première visite de campagne en Seine-et-Marne. Emmanuelle Cosse, secrétaire nationale d’Europe Ecologie-les Verts (EELV) et tête de liste de son parti pour les élections régionales en Ile-de-France, sera à Chevry-Cossigny ce mercredi à partir de 19 heures. Elle visitera la ferme de Cossigny, une exploitation agricole biologique de 67 ha afin « d’encourager le développement de l’agriculture vivrière et biologique dans une région marquée par la disparition des terres agricoles ». La patronne des Verts sera notamment accompagnée de Bénédicte Monville de Cecco, tête de liste EELV en Seine-et-Marne, ainsi que d’autres militants locaux.
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Le PS choisit Sarkissian et EELV investit Monville-De Cecco (02/07/2016)
THOMAS POUPEAU | 02 Juil. 2015, 07h00 | MAJ : 02 Juil. 2015, 09h55
Les élections régionales n’ont lieu qu’en décembre mais déjà, les partis s’activent. Le PS et Europe écologie les verts (EELV) ont choisi les candidats seine-et-marnais qui devront défendre leurs couleurs à la région.
Le PS propose Sarkissian. On attendait François Kalfon, le médiatique conseiller municipal d’opposition PS à Melun… Ce sera Roseline Sarkissian. La conseillère régionale et élue d’opposition à Fontainebleau a été choisie par Claude Bartolone, le candidat socialiste pour l’Ile-de- France aux élections régionales.
Un choix qui reste soumis au vote des militants, prévu le 9 juillet. « Il est trop prématuré d’évoquer ce sujet, balaie l’élue. La désignation des têtes de liste est un processus précis, je ne m’exprimerai qu’à l’issue de celui- ci. » En attendant, Roseline Sarkissian accompagnera Claude Bartolone, aujourd’hui, à Emerainville, dans les locaux de la société Yprema. Thème du déplacement : la gestion des déchets de chantier, une thématique « chère » à l’élue de Fontainebleau.
Bénédicte Monville-De Cecco pour EELV. La nouvelle cosecrétaire départementale EELV 77 a été désignée mardi par le conseil politique régional du parti pour mener la campagne en Seine-et-Marne. Sa liste n’est pas encore arrêtée mais devrait compter Jean-Marc Pasquet, conseiller municipal à… Draveil (Essonne). « Les problématiques qu’il défend dans ce département sont très proches de celle du nôtre », argumente Bénédicte Monville-De Cecco. Derrière, Rose de la Fuente, ex-candidate EELV aux législatives sur la 3e circonscription ; Liliane Pays, militante dans le secteur de Coulommiers ; ainsi qu’une place dédiée à une personnalité issue de la société civile…
La totalité des colistiers sera annoncée en septembre. Au rayon des idées, Bénédicte Monville-De Cecco voit en Seine-et-Marne des enjeux écologiques « fondamentaux ». A commencer par l’agriculture. « Veut-on une agriculture qui nourrit les humains ou juste un système économique ? » interroge-t-elle. Pêlemêle, elle cite la « nappe phréatique du Champigny, qui fournit en eau une bonne partie de l’Ile-de-France et est de plus en plus polluée », ou bien « la gestion des déchets ».
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Melun Elections régionales : Bénédicte Monville tête de liste EELV (07/07/2015)
Bénédicte Monville de Cecco, conseillère municipale d’opposition à Melun, a été désignée comme tête de liste EELV, pour le 77, par le Conseil Politique Régional du parti.
07/07/2015 à 12:24 par vanessa relouzat
On connait désormais le nom de la candidate qui fera campagne pour Europe Ecologie les Verts, en Seine-et-Marne. Il s’agit de Bénédicte Monville de Cecco. Conseillère municipale d’opposition à Melun,et co-secrétaire départementale EELV 77, l’anthropologue-enseignante-militante-anti-raciste compte donc faire porter la voix des écolos, notamment sur les enjeux agricoles du département et sur la gestion des déchets.
Les élections régionales se dérouleront les 6 et 13 décembre prochain. La candidate EELV pour l’île-de-France est Emmanuelle Cosse.
http://www.larepublique77.fr/2015/07/07/elections-regionales-benedicte-monville-tete-de-liste-eelv/
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Police municipale équipée de traqueurs : l’opposition s’indigne
Des élus crient au scandale après le vote d’une délibération autorisant la police municipale à se doter d’un système privé détectant les voitures haut de gamme volées.
« Cela revient à externaliser une fonction de la police nationale. On joue les VRP d’une société privée ! C’est scandaleux ! La police municipale va travailler pour une société privée qui agit pour ceux qui ont les moyens de s’équiper et pour lesquels la voiture représente un patrimoine ! » s’insurge Bénédicte Monville-De Cecco (EELV).
Les débats ont été particulièrement vifs jeudi soir, au conseil municipal de Melun, quand les élus de la majorité ont voté une convention avec la société Traqueur pour améliorer la lutte contre la délinquance.
La municipalité a voté le principe d’équiper le véhicule de patrouille Renault Trafic de la police municipale et la Renault Mégane de la brigade cynophile avec des détecteurs embarqués. En clair, Traqueur a développé un système de sécurisation des véhicules ou des biens via la pose de détecteurs-localisateurs mobiles. Les particuliers qui le souhaitent paient ainsi la pose de ce matériel. L’intérêt ? En cas de disparition d’un véhicule, la balise radio est activée et si une voiture de police croise la voiture volée, elle est détectée. Traqueur communique alors aux forces de l’ordre l’identifiant de la balise, le lieu et la date du vol.
Mais la délibération du conseil municipal est loin d’avoir convaincu l’opposition, dont les neuf élus ont voté contre. « Il ne me semble pas souhaitable qu’on détourne la police municipale de ses missions au service des Melunais pour une société privée », commente Thomas Guyard (FG). François Kalfon (PS) enfonce le clou : « La délibération va être frappée d’illégalité car c’est la rupture de l’égalité des droits. Vous demandez à la police municipale de traquer des voitures volées aux personnes qui ont eu les moyens de s’équiper avec le système Traqueur. Pourquoi la police et la gendarmerie nationale n’y ont-elles pas recours ? Parce que ce service rompt le principe d’égalité. La police nationale a un système de scanner relié au fichier des véhicules volés. Chacun en bénéficie, que l’on soit puissant ou pas ! »
Réponse du maire (LR), Gérard Millet : « Cela ne nous coûte rien. Je ne vois pas pourquoi on ne le ferait pas. Des victimes de la délinquance, il y en a dans tous les milieux ! »
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Melun Polémique sur la traque des voitures volées
Deux véhicules de la police municipale vont être équipés pour détecter les balises des voitures abonnées déclarées volées. L’opposition crie au scandale.
03/07/2015 à 10:02 par thomas.martin
Dans un souci plus large de lutter contre la délinquance, et ici contre les vols de véhicules, la majorité municipale a proposé, et finalement voté en conseil municipal jeudi soir, une convention avec la société privée Traqueur pour le repérage des véhicules déclarés volés.
Un véhicule abonné au système Traqueur est équipé d’une balise qui, en cas de vol déclaré, permet de le repérer par le passage à proximité de véhicules de forces de l’ordre équipés du système de détection correspondant. Et ainsi de déclencher l’intervention des forces de l’ordre. La municipalité a proposé ainsi d’équiper le véhicule de patrouille de la police municipale et celui utilisé par sa brigade cynophile. C’est la société Traqueur qui prend tous les coûts en charge.
Polémique
Alors, bonne idée dans un consensus contre la délinquance ? Pas du tout, bien au contraire, vu du côté de l’opposition qui a voté contre. Jérôme Guyard : « Je ne vois pas ce que ça va apporter aux Melunais en détournant la police municipale de ses services » ; Bénedicte Monville de Cecco : « On va jouer les VRP pour une société privée en faveur de peu de gens pour qui le véhicule est un réel patrimoine, c’est fondamentalement scandaleux » ; Claude Bourquard : « C’est un fâcheux précédent, d’autres sociétés concurrentes pourraient exiger le même équipement » ; François Kalfon : « Il faudrait demander une redevance à la société. Par ailleurs les voitures de police et gendarmerie sont équipées de systèmes qui scannent les plaques des véhicules suspects d’être volés, la police municipale pourrait peut-être s’en équiper. »
Pour le maire Gérard Millet « De la délinquance, il y en a partout », et pour son adjointe Patricia Astruc-Gavalda « Les véhicules volés servent aussi à des mauvais coups, c’est aussi de la prévention ».
On pourra juger de l’efficacité du système lors des bilans de la police municipale. Notons que, pour l’instant, dans la lignée du débat en conseil, personne n’a pensé à proposer de taxer aussi les vendeurs d’alarmes sonores pour les pavillons, qui peuvent faire valoir que les occupants, voire même des propriétaires, pourraient ainsi bénéficier de l’intervention de la police municipale en cas d’alerte.
http://www.larepublique77.fr/2015/07/03/polemique-sur-la-traque-des-voitures-volees/
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Deux nouveaux dirigeants à Europe écologie – Les Verts (77)
22 Juin 2015, 07h00 | MAJ : 22 Juin 2015, 07h26
Réuni en fin de semaine dernière, EELV 77 a élu Bénédicte Monville De Cecco, élue d’opposition à Melun, et Pascal Vesvre, issu d’Emerainville, comme nouveaux cosecrétaires. En tout, huit membres composent le bureau exécutif départemental. Au menu : « Nous continuerons à lutter contre les pollutions, les grands projets inutiles en Seine-et-Marne (parc Napoléon près de Montereau-Fault-Yonne, la construction de Villages Nature à Villeneuve-le-Comte, le casier pilote inondable dans la Bassée, le CDG Express entre la gare de l’Est et l’aéroport Charles-de-Gaulle.
..), l’exploitation des gaz et huiles de schiste et pour la fin des permis d’exploration qui menacent notre département », égrène le parti.
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Tzen 2 : la mobilisation ne fait que commencer
Plus de 200 personnes étaient présentes, vendredi soir dernier, à la réunion publique sur le projet de TZEN 2 à Melun. Les associations à l’origine de la manifestation ont présenté leur point de vue avant de laisser largement la parole à l’assemblée composée de nombreux citoyens mais aussi d’élus.
24/06/2015 à 09:47 par admin
Inquiets, les administrés, venus en nombre à la réunion de concertation sur le projet de Tzen 2. Michaël Guion, président de l’UNICOM (Union des commerçants de Melun), a d’abord commencé par présenter les associations à l’origine de la réunion publique. La soirée a ainsi été organisée par l’ASM (Association de Sauvegarde de Melun), le MVDSE (Melun Val de Seine Environnement), le collectif de la Rue des Fossés, le comité de défense du Boulevard Aristide Briand, l’UNICOM et le MVSNE (Melun Val de Seine Nature et Environnement).
Rouvrir la concertation
Des membres de l’association MVDS ont lancé la soirée en faisant une présentation du projet de TZEN 2 à Melun. Bien documenté, l’exposé a largement insisté sur le principal point de discorde : le tracé. Arrivant dans le nord de la ville-préfecture, le TZEN devrait ensuite relier la gare de Melun en empruntant successivement la rue du Général de Gaulle, la rue Saint-Aspais, l’avenue Thiers.
Dénonçant l’« emprise vorace » de l’équipement, l’association a rappelé que le TZEN « consommera une à deux voies de circulation », « réduira la capacité des chaussées existantes » et « supprimera des arbres et des places de stationnement ».
Les associations ont plus particulièrement fait part de leur inquiétude en ce qui concerne la rue Saint-Aspais, principale artère commerçante de la ville. Le TZEN y prendra toute la place. Mais selon elles, des questions de sécurité se posent aussi rue du général de Gaulle où se trouvent les sorties d’un collège et de deux écoles. La durée des travaux, cinq ans (de 2015 à 2020), ainsi que le coût, 174 millions d’euros, ont également été critiqués. Pour les associations, il est donc urgent de rouvrir la concertation.
Pléthore de questions
La soirée s’est ensuite poursuivie en donnant la parole au public qui a pu poser des questions et faire part de ses inquiétudes. Avant d’écouter l’assemblée, Michael Guion a, toutefois, tenu à préciser que récemment Jean-Jacques Barbeaux (UMP), président du conseil départemental de Seine-et-Marne, Gérard Millet (UMP), maire de Melun, et Louis Vogel (UMP), président de la CAMVS s’étaient déclarés pour un nouveau tracé qui ne passerait plus par la rue Saint-Aspais. Les questions ont été nombreuses et les sujets évoqués divers et variés : « Pourquoi pas un référendum local ? », « Je suis inquiet quant à la suppression de places de parking », « Le réseau Mélibus n’est-il pas suffisant ? », « La ville de Melun a-t-elle les moyens de financer une partie des travaux ? » etc. À chaque fois, un des membres des associations tentait d’apporter son éclairage. Les interrogations ont émané bien sûr de Melunais mais aussi d’habitants de Dammarie-lès-Lys ou encore de Vaux-le-Pénil.
Des élus présents
De nombreux élus locaux étaient présents dans la salle : Denis Jullemier (UMP), conseiller départemental du canton de Melun, François Kalfon (PS), conseiller municipal d’opposition et conseiller régional ainsi que Bénédicte Monville – De Cecco (EELV), conseillère municipale d’opposition. L’élue écologiste a été la première à prendre la parole. Le projet est inutile. On peut faire autrement : il faut utiliser les transports en commun déjà existants, le vélo, … » a ainsi déclaré l’élue écologiste.
Et d’ajouter :
Le centre-ville est complètement congestionné. Je suis outrée par le niveau de pollution.
François Kalfon a enchaîné. « Le TZEN ne doit pas passer par la rue Saint-Aspais c’est ma position, a-t-il indiqué. Le TZEN doit passer par le boulevard Victor Hugo et la place Praslin mais le maire a des projets immobiliers … ».
Denis Jullemier a conclu.
Le président Barbeau a pris la parole dans la presse pour dire que le tracé ne doit pas passer par la rue Saint Aspais. Moi-même, je suis contre. Il faut revenir à la concertation pour trouver une solution.
La soirée s’est achevée sur une liste des actions futures à organiser. Les élus sont donc prévenus, la mobilisation ne fait que commencer.
http://www.larepublique77.fr/2015/06/24/tzen-2-la-mobilisation-ne-fait-que-commencer/
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Les élus sont restés discrets
S.B. | 22 Juin 2015, 07h00 | MAJ : 22 Juin 2015, 07h09
Dans la salle, ni le maire de Melun ni son premier adjoint n’étaient présents pour répondre. Conseiller départemental sur le canton de Melun, Denis Jullemier (LR) regrette qu’on fasse « les choses à l’envers en lançant le Tzen2 sans régler au préalable les problèmes du trafic de transit que seuls les ponts en aval et en amont de Melun pourront régler et qui sont inscrits au Schéma directeur de la région Ile-de-France ».
Pour Bénédicte Monville de Cecco (EELV), élue d’opposition, « nous avons besoin de transports en commun propres et pas au détriment des mobilités douces. Mais ce projet est une hérésie au plan environnemental et financier car il est conçu pour desservir en consommateurs les zones commerciales entre Melun et Carré Sénart ». Président de la commission Transports à la région, François Kalfon (PS) fustige l’absence de contact des élus locaux avec les élus régionaux sur l’annonce de changement de tracé. Il précise que les futurs bus ne rouleront pas au diesel en 2020, mais « au mieux en hybride ».
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Melun Place Praslin : ils disent « Non au béton »
Vendredi 12 juin, une quarantaine de Melunais a manifesté en début de soirée, sur la place Praslin, pour s’opposer au projet immobilier de la mairie. Les manifestants invitaient à signer leur pétition.
15/06/2015 à 15:53 par thomas.martin
Un mouvement ouvert à tous
Des membres de l’opposition municipale font partie du collectif. Bénédicte Monville de Cecco (EELV) était ainsi présente vendredi soir. Elle répète que ce projet immobilier place Praslin est un « vrai scandale ».
« Il faudrait faire de cet espace une place publique ouverte sur la Seine, réclame-t-elle. Au lieu de ça, la mairie propose un projet immobilier qui va rejeter du centre-ville les classes populaires ». Thierry Brisson, conseiller municipal PS, est lui aussi du même avis. « La ville bétonne pour continuer à donner des sous à Vinci alors que l’on pourrait faire de cet endroit un espace très agréable » déclare-t-il. Le PG, également sur place vendredi soir, soutient lui aussi le collectif. « Il faut laisser ce parking pour faire fonctionner les commerces » indique Djamila Smaali, conseillère municipale.
Pour signer la pétition : http://www.change.org puis « non à la bétonisation de la place Praslin ».
Melun, 77http://www.larepublique77.fr/2015/06/15/melun-place-praslin-manifestation-petition/
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Melun Le projet immobilier de la Place Praslin ne fait pas l’unanimité
Les riverains, les représentants d’associations environnementalistes et de partis politiques ont décidé de constituer le collectif « Touche pas à la Place Praslin ». Ces derniers ont lancé une pétition, la semaine dernière, afin de faire modifier le projet d’urbanisation de l’île Saint-Etienne. Explications.
14/06/2015 à 19:31 par vanessa relouzat
« Le parking est moche, tout le monde est d’accord, analyse-t-elle. Mais les dimanches, les Melunais viennent s’y promener, les jeunes font du vélo. Il faut conserver cet espace-là et insérer des bancs pour faire rester les gens sur Melun ! »
Les habitants de l’île Saint-Etienne ont donc décidé de constituer un collectif de défense de la place Praslin et ont lancé une pétition en ligne.
Un aménagement urbain et commercial
Pour le maire, l’opération immobilière est rentable puisqu’il s’agit de faire financer une partie de la construction par la société Vinci. « Nous avons organisé des réunions avec les habitants afin de tenir compte de leurs remarques, remarque Gérard Millet. D’ailleurs certaines modifications ont déjà été actées, comme pour l’extrémité de la place où étaient prévues des maisons de ville. Nous prévoyons finalement des espaces paysagers avec des aires de jeux pour les enfants. D’autres évolutions sont encore possibles. »
Une centaine d’appartements devrait donc voir le jour en bord de Seine dans des bâtiments de deux ou de trois étages, selon leur emplacement. Au rez-de-chaussée, des commerces et des locaux d’activités, comme un cabinet médical.
« L’idée est d’aménager des places urbaines pour aérer l’ensemble », précise Eric de Oliveira, chef du service urbanisme, à la mairie de Melun.
Un aménagement qui n’est pas au goût de Bénédicte Monville de Cecco. « Il faut un jardin public ouvert sur la Seine où pourraient se côtoyer tous les Melunais et un espace vert supplémentaire dans une ville qui souffre de la pollution atmosphérique. Un grand jardin qu’on pourrait même imaginer bordé de cafés et de commerces, en bord de Seine. Au lieu de cela, le maire vend notre cadre de vie à un promoteur immobilier qui érigera un immeuble de plusieurs étages sur la quasi-totalité de la surface de la place avec, en sous-sol, un parking de deux étages. »
Même discours chez François Kalfon (PS). « Ce projet n’a aucun intérêt, tacle le conseiller municipal d’opposition qui pointe « une absence de stratégie » : « Nous avons un atout extraordinaire avec la Seine. Au lieu de le valoriser, on veut encore plus bétonner ! »
Pas encore de calendrier
Mais le béton, ce n’est pas encore pour demain. La date de début des travaux est encore loin d’être fixée. « Nous allons entrer dans une nouvelle phase de concertation avec les habitants, explique Eric de Oliveira. Nous devons d’abord étudier la faisabilité technique et financière. Par ailleurs, une deuxième campagne de fouille archéologique doit démarrer. Le projet devra tenir compte de ce qu’on retrouvera. »
Melun, 77__________________________
Melun Pour ou contre la musique en centre-ville ?
Le sujet avait fait débat lors du dernier conseil municipal. Faut-il continuer à diffuser des mélodies dans les rues piétonnes le samedi ? Les avis divergent.
10/06/2015 à 11:56 par vanessa relouzat
Des chansons ringardes
Un avis que ne partagent pas tous les riverains. À l’instar de cette habitante du 20, rue du miroir, un haut-parleur sous la fenêtre. « Je n’y fais même pas attention, raconte telle. Du moment que la musique est diffusée en journée et pas la nuit, cela m’est égal ! »
Pour Thomas Guyard (PCF), diffuser la kitchissime chanson du groupe Corona « The rythm of the night », un tube planétaire sorti en 1993, c’est carrément pousser au crime. « Se réveiller à 10 heures du matin, avec cette chanson un jour de repos, ça donne des envies de meurtre », avait ironisé le conseiller municipal d’opposition.
La playlist municipale, contrainte de respecter les droits d’auteur, semble bien restreinte, en effet.
« La musique proposée est ringarde, c’est vrai », juge un commerçant de la rue des Cloches, avant de mettre un bémol : « mais c’est toujours un plus pour animer les rues. Bien que je ne sois pas certain que cela pousse le chaland à venir à Melun ! » Même refrain chez un habitant du dessus :
« C’est plutôt agréable de se balader en musique. »
« Une polémique stérile »
Et Bénédicte Monville de Cecco de poursuivre : « transformer l’espace du centre-ville en un centre commercial à ciel ouvert, c’est se placer sur le même terrain que les centres commerciaux qui ont des moyens que nous n’avons pas et qui font tout cela bien mieux que nous ».
Un débat complètement stérile pour le maire. « Cela fait au moins 20 ans que cela existe, le nombre de plaignants est extrêmement faible, raconte Gérard Millet (Les Républicains). Certains habitants ont obtenu un jugement au tribunal administratif et nous avons pris des arrêtés afin d’être dans les règles : respect des décibels, diffusion le samedi et au moment des fêtes de Noël. » Par ailleurs, l’élu n’exclut pas de faire déplacer des haut-parleurs si certains Melunais se disent gênés. « Je comprends qu’un haut-parleur placé sous une fenêtre puisse énerver, conclut-il. C’est quelque chose qu’on peut régler facilement. »
Melun, 77« Le bâtiment est très ancien et nécessité une rénovation qui touche le gros œuvre. Une rénovation qui coûterait plus cher que la construction d’une nouvelle prison. »
Pas loin de la gare
Pour la Ville, pas question d’abandonner si rapidement le projet. Un dossier qui tient Brigitte Tixier particulièrement à cœur. « Nous allons créer un comité de pilotage afin d’entamer une réflexion », explique l’adjointe au maire chargée du patrimoine et de la rénovation urbaine qui évoque « quelques pistes pour relocaliser la prison. » Une réflexion qui n’en est qu’au stade de prémices, juste histoire de se tenir près, en cas d’un éventuel feu vert du gouvernement.
Thomas Guyard (PCF), conseiller municipal d’opposition a, par ailleurs, souligné l’importance de maintenir la proximité avec la gare de Melun.
« Une étude a été réalisée sur le domicile des gardiens, a pointé le maire. Statistiquement, la plupart d’entre eux viennent des villages entre le Châtelet-en-Brie et Montereau-Fault-Yonne. Très peu prennent les transports en commun. La proximité avec la gare serait, en revanche, utile pour les familles des détenus. »
Et Bénédicte Monville de Cecco (EELV) de conclure qu’un centre de détention construit dans les champs serait une erreur. « Le centre-ville permet aux prisonniers d’écouter ce qu’il se passe à l’extérieur. »
Melun, 77___________________________
Melun La lutte contre la délinquance s’intensifie
Lundi 18 mai, les élus de la Communauté d’Agglomération de Melun Val de Seine ont adopté, à la quasi-unanimité, la délibération prévoyant la création d’un Conseil Intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (CISPD). Le but : garantir la sécurité des concitoyens.
26/05/2015 à 16:34 par vanessa relouzat
Manque de moyens
« Ce CISPD n’est pas une nouvelle entité qui viendrait se superposer aux autres, explique le président de l’agglo. En effet, cette nouvelle instance se substituera aux Conseils Locaux de Sécurité et de Prévention de la Délinquance communaux (CLSPD) qui ont montré leurs limites du fait d’une délinquance qui s’affranchit des frontières communales. Le CISPD ne remplacera pas les initiatives municipales qui conserveront la maîtrise des politiques sociales, éducatives et d’animation liées à la sécurité des habitants de leur commune. »
L’objectif : rentabiliser au maximum les moyens alloués à la sécurité. « Vingt-deux agents de la police municipale à Melun pour une ville de 40 000 habitants, c’est insuffisant, souligne l’élu. Sans parler de la justice. En France, le budget qui lui est consacré représente 115 euros pas habitant, alors que l’Allemagne attribue 163 euros, le Royaume-Uni 196 euros et la Suède 432 euros. Résultat : la réponse pénale n’est pas assez rapide. »
« Le problème est déplacé »
Du côté de l’opposition, on a choisi de soutenir la création de cette instance. Même si, la note de présentation a été jugée incomplète par Bénédicte Monville de Cecco (EELV).
« Les violences verbales, le décrochage scolaire, le trafic de stupéfiant ou les cambriolages sont traités de la même manière comme s’il s’agissait de délits de même nature, remarque la conseillère municipale de Melun. Rien n’est dit des causes de la violence ou des trafics, rien sur l’augmentation de la pauvreté et de l’insécurité sociale qui sont au cœur de la délinquance. On nous propose de multiplier la video-protection alors même que les débats de lundi soir ont fait apparaître que l’installation d’une caméra à la gare de Melun n’a fait que déplacer le problème et qu’elle n’a évidemment rien résolu. »
Le programme d’installation de caméras de vidéo-surveillance devrait pourtant se poursuivre. Pour Louis Vogel, il est maintenant urgent de passer à l’action.
« Les administrés en ont marre. Un jour, il y aura une balle perdue. On vit dans une époque de désillusion totale. À un moment, les personnes qui vivent dans les quartiers défavorisés y croyaient. Mais ils constatent aujourd’hui qu’il est vraiment plus difficile de réussir quand on ne vient pas du bon endroit. Résultat, ils n’ont rien à perdre. » La première réunion plénière du CISPD se tiendra le vendredi 5 juin.
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L’opposition fête l’abolition de l’esclavage
La République de Seine et Marne du 18 mai 2015
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12 % de hausse d’impôt ou comment les élus s’écharpent sur le budget
La République de Seine et Marne du 13/04/15
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Le conseil municipal vote une hausse des impôts de 12%
Sophie Bordier, Le Parisien du 11/04/15
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Ce qu’il faut retenir du scrutin : percé des écologistes et du Front de Gauche
Ce qu’il faut retenir du scrutin : « Percée des écologistes et du front de gauche », La République de Seine et Marne du lundi 30 mars 2015, Vanessa Relouzat
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« Des énergies renouvelables sans toucher aux terres »
Bénédicte Monville De Cecco (EELV), élue à Melun et conseillère communautaire
« Nous, les Verts, nous sommes de grands défenseurs de l’agriculture et des agriculteurs ! C’est l’activité humaine la
plus importante de l’humanité ! Mais redonner sa place à l’agriculture,…
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Un « rassemblement citoyen » devant l’ex-IUFM
Samedi matin, une vingtaine de personnes s’est réunie devant le site de l’ancien IUFM situé rue du Capitaine Bastien, pour évoquer le problème du logement. A l’initiative de la manifestation, Bénédicte Monville-De Cecco (EELV) et Yves Rémy (PCF-FDG) candidats aux élections départementales, ainsi que leurs suppléants Farida Atigui (FDG) et Julien Guérin (République et Socialisme – FDG).
11/03/2015 à 12:28 par admin
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L’avenir de l’ex-IUFM au coeur de la campagne
M.L. | 09 Mars 2015, 07h00 | MAJ : 09 Mars 2015, 06h50
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La Ville est-elle au bord du gouffre ?
Les administrés vont devoir encore se serrer la ceinture, cette année. En 2015, le conseil municipal prévoit une hausse des impôts et des tarifications des services. Pour l’opposition, « c’est la tutelle qui pend au nez de la Ville ».
18/02/2015 à 18:15 par vanessa relouzat
http://www.larepublique77.fr/2015/02/18/la-ville-est-elle-au-bord-du-gouffre/
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L’opposition s’insurge face à la hausse des impôts et la dette
Sophie Bordier | 14 Févr. 2015, 07h00 | MAJ : 14 Févr. 2015, 06h30
(…)
L’opposition sort de ses gonds. « Parmi vos dix promesses de campagne, vous disiez augmenter le pouvoir d’achat des Melunais et pas les impôts. Mais les Melunais doivent encore payer ! C’est insupportable ! », lance Thomas Guyard (FG). Au vu de « l’endettement qui court et galope », il craint que la délégation du budget soit confiée à la préfecture. François Kalfon (PS) détaille l’envolée de la dette (46, 563 M€ en 2000, 98,243 M€ en 2014 et 101,992 M€ fin 2015) avec 9 M€ de remboursement annuel. Il pointe la dette par habitant qui a bondi de 1 259 € en 2000 à 2 396 € fin 2014 et atteindra 2 487 € fin 2015. « Nous sommes la ville la plus endettée du département », lance l’élu qui va saisir la chambre régionale des comptes. Au nom de Bénédicte Monville de Cecco (EELV), excusée, Claude Bourquard juge « inacceptable ces coupes budgétaires et la hausse des impôts annoncée, le résultat d’un choix politique » où il mêle UMP et PS.
(…)
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Le maire annonce une hausse des impôts
Le conseil municipal présentait ses vœux à la population, vendredi soir dernier, dans la nouvelle salle de l’Escale. Le maire, Gérard Millet, a annoncé une hausse probable des impôts en 2015. Réactions.
06/02/2015 à 14:30 par vanessa relouzat
(…)
Ce qui n’a pas manqué de faire réagir les twittos. « Le maire annonce l’augmentation des impôts locaux en faisant porter l’entière responsabilité sur l’État. Quid des emprunts toxiques », pointe Bénédicte Monville de Cecco (EELV), conseillère municipale de l’opposition.
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http://www.larepublique77.fr/2015/02/06/le-maire-annonce-une-hausse-des-impots/
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Le Cercle d’escrime : le club « chouchou » de l’agglo ?
Lors de la dernière assemblée de l’agglomération Melun Val-de-Seine, une partie de l’opposition s’est élevée contre la subvention versée au Cercle d’escrime. Bénédicte Monville-De Cecco (EELV) a demandé des explications sur un projet de délibération ayant pour finalité l’octroi d’une avance sur subvention de quelque 72 900 euros à ce club. (…)
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Melun : Monville (EELV) et Rémy (PCF) en lice
Sophie Bordier | 30 Janv. 2015, 07h00 | MAJ : 30 Janv. 2015, 05h45
L’écologiste Bénédicte Monville De Cecco (EELV), 44 ans, en tandem avec le communiste Yves Rémy (PCF), 59 ans : c’est le binôme qui se présentera les 22 et 29 mars aux élections départementales dans le canton de Melun.
Une alliance sans surprise véritable : « Nos partis siègent déjà au sein du même groupe à la communauté d’agglomération Melun Val de Seine. L’enjeu fondamental, c’est battre la droite ! », assurent-ils en chœur. Face au constat qu’ils dressent – « l’austérité, ce n’est pas une vie, on peut orienter les dépenses publiques autrement, avec la participation du peuple » -, ils proposent une « alternative populaire et écologiste ».
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La République de Seine & Marne : Vote quasi unanime pour l’installation de deux caméras à la gare de Melun
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Le fil rouge-vert de la gauche alternative : « l’humain d’abord ! »
Le PCF-Front de Gauche et Europe Ecologie Les Verts du canton de Melun ont décidé de présenter une liste commune aux élections départementales (ex-cantonales) qui se dérouleront les 22 et 29 mars prochains. Leurs objectifs : en finir avec la politique d’austérité et partager les pouvoirs avec tous les citoyens.
23/01/2015 à 12:46 par vanessa relouzat
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La Ville s’adapte aux nouveaux rythmes scolaires
Le conseil Municipal a voté jeudi les nouveaux horaires des cours pour les enfants des écoles maternelles et élémentaires. Ils seront applicables dès la prochaine rentrée.
16/07/2014 à 11:13 par admin
http://www.larepublique77.fr/2014/07/16/la-ville-s%E2%80%99adapte-aux-nouveaux-rythmes-scolaires/
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Conseil communautaire : Louis Vogel (UMP) élu président et une parité mise à mal
Mardi dernier, le conseil communautaire s’est réuni pour élire le président de l’agglomération Melun Val de Seine ainsi que les vice-présidents et les conseillers. Sans surprise, c’est Louis Vogel (UMP) qui a été élu président à la tête de l’agglo avec 58 voix, face à Thomas Guyard (PCF). Deux femmes seulement vont siéger en tant que vice-présidentes.
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Conseil municipal : les élus votent un budget d’austérité
Mardi dernier, le conseil municipal s’est réuni sur la question du budget primitif 2014, lequel a été voté à la majorité. Dans les rangs de l’opposition, on dénonce un manque de stratégie et une dégradation de la dette.
05/05/2014 à 10:40 par vanessa relouzat
http://www.larepublique77.fr/2014/05/05/conseil-municipal-les-elus-votent-un-budget-dausterite/
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Débats houleux autour du vote du budget
Le Parisien | 02 Mai 2014, 07h00
Ambiance électrique mardi soir lors du conseil municipal de Melun. Les neuf nouveaux élus d’opposition devaient se prononcer sur les finances. Le sujet ardu et technique du budget 2 014 a suscité de vifs échanges. Dès le départ, l’adjoint aux finances, Kadir Mebarek (UDI), plante le décor, évoquant le contexte budgétaire restreint avec une baisse de certaines dotations de l’Etat.
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Abolition de l’esclavage : les Verts dans une colère noire
Faut-il commémorer l’abolition de l’esclavage, à Melun ? C’est La question qui fâche ! Instaurée en 2006, cette journée de mémoire ne fait pas l’unanimité. Un débat qui a suscité beaucoup de réactions, lors de la séance du conseil municipal, jeudi dernier.
http://www.larepublique77.fr/2014/06/30/abolition-de-lesclavage-les-verts-dans-une-colere-noire/
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Débat houleux autour de l’abolition de l’esclavage
Le 10 mai est devenu Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions. Jeudi soir, à l’issue du conseil municipal de Melun, Bénédicte Monville De Cecco (EELV) a déploré que la ville n’ait pas marqué cette commémoration. Dans la salle où planait une certaine émotion, l’élue évoque ses aïeux de Martinique, cite le poète Aimé Césaire.
.. Le public et ses collègues de l’opposition l’applaudissent.
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Le troisième mandat de Gérard Millet (UMP) est lancé !
Ré-élu, samedi matin, avec 30 voix sur 39, Gérard Millet (UMP) enchaîne un troisième mandat de maire de Melun.
http://www.larepublique77.fr/2014/04/08/le-troisieme-mandat-de-gerard-millet-ump-est-lance/
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