Cette courte vidéo n’aborde pas la question de l’éloignement des habitantEs de Woody des services publics à commencer par les services des transports et, pour l’instant, d’éducation. Mais nous y reviendrons.
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bonjour,
en cause la loi ANRU, il fallait reconstruire ce que l’on « détruit » au titre de cette loi. Melun y consacre sa dernière résèrve foncière mais au moins Melun reconstruit à Melun les logements détruits. Dammarie par exemple a fait reconstruire ce qui a été détruit à Mitry, Brie Comte Robert…. exit les pauvres§
Il aurait pu y avoir une autre solution à Melun c’est la réhabilitation du centre ville à ce jour très vide au dessus des magasins qui ferment. il aurait fallu faire un plan d’ensemble qui aurait été cohérent avec le SDRIF » construire la ville sur la ville. » Un vrai programme.
Désolé pour le bois de Montaigu, avis partagé, il faut donc préserver les bois qui restent où les Melunais et les autres pourront encore aller cueillir des jonquilles et ramasser des champignons. Mais surtout ces surfaces boisées permettent encore l’infiltration de l’eau à Bréviande, mais à Montaigu que fait-on de l’eau ? ruissellement ? infiltration ? quel traitement ?
Bonjour.
Il était effectivement possible de reconstruire les logements sociaux en centre ville sur des sites disponibles. Le coût en aurait été plus élevé, mais c’est un choix politique. Pour ce qui est des eaux pluviales du site du nouvel hôpital nous n’avons pas d’informations précises si ce n’est qu’un redimensionnement des réseaux a été prévu. Il n’y a pas de bassin d’infiltration sur le site et c’est dommage car nous sommes sur des terrains sableux qui y sont propices. Les bois de proximité comme Montaigu ou Bréviande jouent un rôle important en milieu péri-urbain en accueillant la majeure partie de la biodiversité, en modérant les pics de chaleur, en assurant l’infiltration des eaux de pluie vers les nappes phréatiques. Il y a aussi l’aspect social. Les familles qui fréquentent ces bois le week-end viennent majoritairement des quartiers populaires de Melun, du Mée et de Vert-Saint-Denis, plus généralement de l’agglomération. Pour eux c’est un peu la double peine, on porte atteinte à leur environnement et à leurs loisirs.